Bonjour à tous,

parents d'éleves, amis de l'école...



Un espace créé pour vous informer de toutes les actions faites, pour sauver l'école de notre village.



jeudi 30 septembre 2010

Radio totem

sur ce lien vous pouvez écouter tous les journaux du matin, différents interviews réalisés hier après midi sur notre action:
http://www.radio-totem.net/actualite/journal/lozere/?filtre=audio

ETRE PLUS INTELLIGENT QUE LE MAIRE

Après concertation entre nous , nous avons décidé d'être plus intelligent que le Maire et de ne pas porter plainte contre des propos injurieux envers les parents d'élèves tel que:
" Vous êtes des parents irresponsables et utiliser vos enfants comme ça c'est honteux ! "
" Tous ces nouveaux venus qui veulent diriger la commune peuvent rentrer chez eux ! "
En revanche nous allons lui envoyer un courrier lui rappelant ces fonctions, son role mais surtout qu'il s'excuse publiquement et par écrit.
Beaucoup de monde (qu'il soit nouveau ou pas et d'ailleurs qu'est ce que ça veut dire nouveau...)ont été choqué, certain ont pensé repartir : bravo mr le maire vous qui soit disant passez des heures au téléphone pour trouver de nouvelles famailles mieux vaut ne pas les faire venir si c'est pour les accueillir comme cela et ne voir qu'un chiffre à travers elles (leurs enfants) et non des être humains. Jusque là vous disiez que vous étiez soutenu par le Préfet et bien maintenant je pense que ce n'est plus le cas avec de tel propos envers votre population et vos électeurs ne l'oubliez pas.

Grande fête de solidarité samedi FAITES DE LA PUB

mercredi 29 septembre 2010

LES PARENTS D'ELEVES AGRESSES VERBALEMENT PAR LE MAIRE

De retour de la gendarmerie ce matin nous décidons de rencontrer le maire pour avoir des explications sur son comportement (plainte déposée contre les parents d'élèves et les élus qui nous soutiennent) ainsi que pour qu'il nous obtienne un rendez vous avec le préfet .
A la première question, pour faire simple, il n'a pas admis notre comportement et dit qu'on l'empêchait de travailler et qu'il avait du travail par dessus la tête. Ne nous étendons pas sur le reste cela n'est guère constructif.
A la deuxième question il a répondu qu'il le ferait si il veut et quand il veut, en gros ce n'est pas à nous de lui donner des ordres.
Ensuite il est de nouveau reparti dans son amalgame politique où tout le monde en a pris pour son grade. Malgré notre insistance sur le fait que nous avions rien à faire de ses histoires politiques et que notre seul combat était de sauver cette troisième classe et que le symbole de la mairie enchaînée était adressé au préfet qui ne veut pas nous recevoir, il a continué a attaquer sévèrement les différents élus qui nous soutiennent et surtout plus grave il s'en est pris à tous les nouveaux arrivant qui n'avaient rien à faire ici, qu'ils fallaient qu'ils restent chez eux et que ce n'était pas eux qui allaient diriger la commune (encore un amalgame, on en a rien à faire de sa place, qu'il la garde), pour résumer ces propos, vous n'êtes pas les bienvenus sur st etienne vallée française allez vous en et on vous expulsera comme les roms (est ce qu'il y a une prime?)
Nous réfléchissons sur un dépot de plainte pour diffamation

sur ce nous allons nous reposer deux jours pour préparer la journée de samedi qui se doit avant tout festive et surtout solidaire, Mr le Maire vous n'êtes pas le bienvenu!

MIDI LIBRE MERCREDI 29 SEPTEMBRE

Mende. ÉducationLa tension monte à Saint-Étienne-Vallée-F se
RAPPEL : Les parents d'élèves se sont une fois de plus mobilisés pour une troisième classe

Arrivés vers 7 heures hier matin, les parents d'élèves ont commencé par installer différents panneaux reprenant leurs revendications pour le maintien de la troisième classe : "Village à vendre", "Nous sommes déterminés, 37 élèves = trois classes" "Équité départementale"... Ensuite, ils ont placé une chaîne avec un cadenas au portail de l'école, ainsi qu'à celui de la mairie. Celui de l'école à l'attention de l'inspecteur d'académie et celui de la mairie en direction du préfet qui refuse de les recevoir. Ils ont distribué sur la voie publique des flyers pour annoncer la journée de solidarité de samedi. Puis arrivent les gendarmes et le maire. Le blocage de la mairie pose problème. Ils demandent aux parents d'élèves d'ouvrir le bâtiment. Après réflexion,

ces derniers refusent pour montrer leur détermination. Voyant le maire discuter avec les gendarmes, les parents, accompagnés des enfants, se dirigent vers le portail de la mairie, toujours cadenassé, pour surveiller tout cela. Le maire demande à un employé municipal et parent d'élève, accompagné des gendarmes, de couper la chaîne. Ces derniers, énervés par le comportement de leur premier édile, décident d'investir son bureau pour faire le point et évoquer les actions à venir. « Le maire ne donne pas suite à notre demande, puis, devant la détermination des parents, il quitte la mairie en précisant qu'il va porter plainte contre X, c'est-à-dire contre ses administrés et cinq élus du conseil municipal associés à l'action », raconte le collectif. Les parents d'élèves, à plusieurs reprises, réclament alors la démission du maire. L'école reste donc fermée pour la journée.
Hier après-midi, alors que tous les parents vaquaient à leurs occupations, huit gendarmes entouraient le maire. « Des élus se sont rendus sur les lieux et ont appris que le maire avait porté plainte contre les parents, habitants et cinq élus de la commune », affirment les partisans de la troisième classe. Une trentaine de personnes seront auditionnées aujourd'hui à partir de 8 h 30 à la gendarmerie de Saint-Germain-de-Calberte. Des renforts seront nécessaires pour entendre les habitants « qui déposeront tous le même texte ».

Audition à la gendarmerie



Ce matin ceux qui pouvaient se sont rendu à la gendarmerie suite à la demande des gendarmes et au dépot de plainte du Maire. Nous avions rédigé un texte ensemble sur les evenements de la veille auquel nous nous sommes tous engagés à s'y tenir.
Une fois les deux premières personnes auditionnées ils nous ont demandé de signer
cette lettre. Tous n'étant pas présent nous avons pris cette feuille pour la faire signer à tous ceux qui étaient présent à la manifestation.
Voici ce texte:
Je reconnais avoir participé à la manifestation conviviale et non violente pour la défense de la troisième classe de l’école de Saint Etienne Vallée Française. J’étais présente devant l’école et devant la mairie plus tard. Le maire également s’affichait devant les caméras de FR3.
J’ai été particulièrement attristée de voir ce même maire utiliser un employé municipal, parent d’élève en plus, pour couper la chaine qui bloquait l’entrée de la mairie. J’ai été révolté de voir ensuite le large sourire de jubilation qu’affichait le maire, et son : « voilà c’est fait, tout est réglé », alors que rien n’est réglé, que des parents auraient du être au travail, et que le plus lourd handicap de notre action est justement la position qu’affiche notre maire en haut lieu alors qu’il est minoritaire au sein du conseil municipal.
Face à sa provocation, nous l’avons suivi dans son bureau, et avons décidé de nous installer dans la salle du conseil municipal pour discuter de la suite de l’action. La réunion a duré une vingtaine de minutes, jusqu’à midi, heure à laquelle nous avions décidé de nous disperser, comme pourront le confirmer les gendarmes de Barre présents sur place.
Nous n’avons commis aucune violence, ni verbale ni physique, vis-à-vis du maire ou de la secrétaire de mairie, présente dans la salle. Nous n’avons commis aucune dégradation, fermé la salle, tiré les volets et quitté les lieux avant le départ de la secrétaire de mairie. Nous n’avons utilisé aucun matériel municipal, touché à aucun dossier et n’avons pas utilisé les moyens de communication (téléphone, fax..) présents dans la salle.
Si nécessaire, afin de faire aboutir nos revendications, j’affirme que je n’hésiterai pas à m’associer une nouvelle fois à des actions mises en place par le collectif des parents, et rappelle mon engagement n’a
qu’un seul but :
Maintenir dans notre petit village la troisième classe de notre école pour offrir à nos enfants, nos petits enfants et à notre territoire l’enseignement de qualité auquel chaque parent aspire.
Enfin, dans la déclaration des droits de l’homme de1793, il est écrit :
Article 35
Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

mardi 28 septembre 2010

Le maire porte plainte !!!!!!!!!!!!!!!!!!

Nous apprenons en fin d'après midi alors que quatre voitures de gendarmes étaient postées au monument au mort que tous ceux qui ont participé à la manifestation de ce matin sont conviés au poste de gendarmerie de st germain de calberte à partir de de8h30. En effet le maire a porté plainte contre quoi on sait pas on n'en saura peut etre plus demain
on se demande si il existe un pareil cas dans une commune en france cherchez bien...

Lien Journal Televisé 19/20

http://info.francetelevisions.fr/video-info/index-fr.php?id-categorie=JOURNAUX_LES_EDITIONS_REGIONALES_LANGUEDOC_ROUSSILLON_1920

La main dans le sac



Ceux qui étaient enervés ce matin après la coupure de la chaine à la mairie, voici en P.J. de quoi ne pas vous calmer.

Pris en flagrant délit !!!!!!!!

Franchement !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Lien du journal 12/13 Languedoc Roussillon

http://info.francetelevisions.fr/video-info/?id-video=cafe_HD_1200_montpellier_midipile_280910_572_28092010131608_F3&id-categorie=JOURNAUX_LES_EDITIONS_REGIONALES_LANGUEDOC_ROUSSILLON

ACTION MARDI 28 SEPTEMBRE










Arrivé vers 7 heures ce matin les parents d’élèves ont commencé par installer différents panneaux informant nos revendications :
Village à vendre : si cela continu nous n’aurons plus de service public, autant le vendre…
nous sommes déterminés, 37 élèves = 3classes, le maire avec nous, rendez vous samedi solidarité, équité départementale.
Ensuite nous avons mis une chaine avec un cadenas au portail de l’école ainsi qu’à celui de la mairie.
Celui de l’école en direction de l’inspecteur d’académie qui nous tient au chantage et celui de la mairie en direction du préfet qui refuse de nous recevoir.
Nous distribuons des flyers pour la journée de samedi sur la voie publique en filtrant les voitures.
Puis France 3 arrive, filme, réalise quelques interviews. Des images ont été diffusées ce midi et le reportage ce soir sur France 3 Languedoc.
Après information de l’inspectrice de l’éducation nationale de Florac par les institutrices, ces dernières sont invitées à se mettre à l’abri dans le collège…
Puis arrivent les gendarmes et le Maire. A priori c’est la mairie qui pose problème pour eux. Ils nous demandent d’ouvrir la mairie. Après réflexion nous refusons on en a assez d’être gentils. Voyant le maire discuter avec les gendarmes nous allons à la mairie, avec les enfants bien sur, pour surveiller tout cela. Bingo Mr le maire demande à Jimmy (employé municipal et surtout parent d’élève) sous la protection des gendarmes au cas où on le mangerai ) de couper la chaine. Les photos se passent de commentaires, le maire avec un grand sourire lance voilà c’est fait : et après il nous dit qu’il est solidaire de notre action, mon œil ! Les parents d’élèves énervés par son comportement décident d’investir son bureau pour faire le point et parler des actions à venir. Deux réactions : j’ai beaucoup de boulot (pourtant les projets sont rares…) et je vais porter plainte contre x (pourtant il connait nos noms, on a été rebaptisé !). Enfin bref, désolant la meilleure chose qu’il puisse arriver pour St Etienne ce serait très certainement sa démission !
L’école reste donc fermée pour la journée puisque à priori ça ne dérange personne, affaire à suivre…

dimanche 26 septembre 2010

Petit Historique

Pour ceux qui ne connaissent pas notre combat, un petit historique:

*En mai 2009 l'inspecteur d'académie nous affirme qu'il ne fermera pas de classe à st etienne si la commune se montre dynamique en politique de jeunesse, d'accueil, de stabilisation des effectifs dans un premier temps puis une hausse dans un second temps. A ce moment les effectifs avec trois classes sont de 31 élèves. Il donne trois ans pour évaluer ses engagements.

*mars 2010 nous apprenons la proposition de l'inspecteur de fermer une classe à st etienne alors que la commune a déjà fait preuve de dynamisme: ouverture d'un centre aéré, d'une garderie, d'une crèche (pour janvier 2011) et la création de deux nouveaux logements en locatifs ainsi qu'un projet de lotissement. De plus les effectifs sont plus que stabilisés puisque nous sommes passés à 37 élèves à la rentrée 2010. Pour couronner le tout de nombreuses naissances et une maternelle pleine (22 élèves), donc de l'avenir.

*après des rencontres avec cet inspecteur d'académie à plusieurs reprises et le sous préfet, il campe sur ces positions. Nous décidons d'occuper l'école au 15 mars pour nous faire entendre avant la décision finale du CDEN du 04 avril 2010. Rien n'y fait : quand l'inspecteur a dit, il fait...nous portons l'affaire en justice (via la mairie) au tribunal administratif ainsi qu'en référé. Début juillet nous perdons le référé, reste le tribunal administratif mais pas avant 6 mois voire 1 an...

* Décidé à ne pas se laisser faire (et après prise de connaissance des moyennes départementales en Lozère avec trois classes : 36 à 40 élèves par école et nous nous sommes à 37) un groupe de parents d'élèves propose de réagir en demandant à un instit à la retraite et élu sur notre commune (Jean Pierre Hours) de se substituer au poste qui a été supprimé par l'inspecteur d'académie. Après consultation des parents il participe à la réunion de prérentrée (à la demande des parents bien sur) et prendra en charge le cycle 3. (10 parents sur 11 sont d'accord). Le jour de la rentrée l'IEN de Florac nous remonte les bretelles en nous interdisant cette démarche et le lendemain nous recevons un courrier de l'inspecteur nous menaçant de pénal.

* Notre action fait la une de plusieurs médias, les articles s'enchainent, la télé, etc... Une rencontre avec l'inspecteur ne change rien et une deuxième lettre recommandée nous menace du redoublement des enfants.

* Aujourd'hui le préfet refuse de nous recevoir, l'inspecteur d'académie campe sur ses positions et essaie de faire pourrir la situation : c'est pourquoi nous allons dans les prochains jours réaliser des actions d'envergure pour réellement se faire entendre et ne plus passer pour de gentils petits protestataires des Cévennes.

* Pour couronner le tout cette journée du 02 octobre de solidarité doit montrer à nos administrations les forces d'un territoire, c'est également une journée de défense pour les retraites, une belle journée d'engagement...

Merci de votre présence et de votre soutien

Les parents d'élèves de St Etienne VF

vendredi 24 septembre 2010

02 OCTOBRE JOURNEE SOLIDARITE


A diffuser sans modération, la salle de st etienne doit etre pleine à craquer pour montrer notre solidarité sur ce territoire oublié des autorités...

jeudi 23 septembre 2010

REUNION DU JEUDI 23 SEPTEMBRE


Les parents d'élèves se sont réunis ce jeudi pour décider de la suite du mouvement après la lettre recommandée de l'inspecteur d'académie menaçant les élèves du 3ème cycle de redoublement.
Le constat a été fait que nous sommes tout simplement pris pour de gentils protestataires et que notre action n'irait pas bien loin aux yeux de l'inspecteur d'académie qui, nous pensons, tente de faire essouffler le mouvement.
Nous avons réussi à obtenir les chiffres officiels de la rentrée des classes dans les écoles à trois classes:
ST GERMAIN DU TEIL: 36 élèves
LANUEJOLS: 37 élèves
CHIRAC: 39 élèves
BALSIEGES: 40 élèves

ST ETIENNE VALLEE FRANCAISE: 37 élèves (2 classes)
OU EST L'ÉQUITÉ DÉPARTEMENTALE MR L'INSPECTEUR


Des articles dans la presse vont être diffusés notamment concernant la réponse à mr l'inspecteur d'académie et mr le préfet qui refuse de nous recevoir alors qu'il est le chef des services administratifs du département...
Un article également sur le vote du conseil municipal d'hier soir ainsi qu'une invitation a un concert de soutien pour le samedi 02 octobre.

De plus nous avons décider à l'unanimité un durcissement du mouvement puisque nous sommes pris pour des gentils parents. Des actions sont donc prévues dans les semaines suivantes avec les médias: SURPRISES...

LES PARENTS D'ÉLÈVES EN COLÈRE

mercredi 22 septembre 2010

Démenti

certaines personnes s'amusent à faire courir le bruit que notre action est contre le corps enseignant de l'école. Nous démentons formellement cela. En aucun cas la conservation de la troisieme classe n'a de rapport avec les instits actuellement présents. Ces personnes qui font courir ce bruit cherchent tout simplement à nous mettre des batons dans les roues (n'est ce pas mr le Maire).
Jean Pierre Hours, actuel enseignant de la classe alternative, aurait catégoriquement refuser cette démarche si c'était pour marcher sur une collègue, qu'on se le dise, a bon entendeur salut!

Refus du prefet de nous recevoir

Le cabinet du Préfet nous a fait savoir cet apres midi que ce dernier refusait de nous recevoir pour lui exposer nos arguments et trouver une solution au conflit. Pour lui, il n'a pas competence en la matiere et renvoit donc la balle à l'inspecteur d'académie qui doit lui seul gerer la situation. Ce dernier via la lettre recommadée de lundi et ces menaces sur le redoublement des enfants (infondées)nous trouve tres certainement bien pacifique et veut tres certainement laisser pourrir la situation. Malheureusment dans ce pays pour se faire entendre et etre un peu pris en considération on nous pousse à un agir avec force et non diplomatie...

Conseil municipal

Ce soir a l'ordre du jour du conseil municipal la délibération sur le texte des parents d'eleves:
" Le conseil municipal de Saint Etienne Vallée Française considère que la salle de l’ex troisième classe est une simple salle municipale qu’il met à disposition des enfants du troisième cycle confiés par les parents à un enseignant qualifié, Mr Jean Pierre Hours actuellement, aux mêmes jours et mêmes horaires que ceux de l’école publique du village.

Le conseil municipal met à disposition des parents d’élèves tout le matériel d’enseignement nécessaire et offre aux enfants les mêmes services que ceux offerts aux enfants de l’école publique. (Cantine, garderie, ramassage scolaire…..) "

Résultat du vote 6 pour, 5 contre.
Mr le maire et son groupe n'ont meme pas eu l'intelligence de s'abstenir, ils ont voté contre; Pour des gens qui soit disant soutiennent l'action des parents d'élèves c'est un peut limite!
affaire à suivre...

lundi 20 septembre 2010

Séance de capuera






Merci de la solidarité de Jean Phi qui a fait découvrir aux enfants de la classe alternative la capuera.

Les parents d'élèves au forum des associations intercommunal à St Croix Vallée Française


Ce dimanche 19, les parents d'élèves et Jean Pierre étaient à Sainte Croix où il y avait le marché, le forum des associations et un vide grenier. A cette occasion nous avons monté un panneau agrémenté de belles photos. De très nombreuses personnes sont venues s'informer, et nous avons récolté de nombreuses signatures de notre pétition.

Nous en avons profité pour tordre le cou a une rumeur malveillante qui circulait jusqu'à Sainte Croix, et qui tendait à discréditer notre engagement en laissant penser que notre action visait en priorité à déstabiliser l'équipe enseignante actuelle. Les parents et Jean Pierre, nous confirmons que notre action ne concerne que le maintien de la troisième classe, et qu'en aucun cas Jean Pierre ne se serait engagé dans une action contre une collègue. Pour nous, et ce depuis le départ, l'objectif était et reste clair. Tant pis pour ceux qui ont déjà affiché leur opposition à notre mouvement, et qui ne souhaitent que son échec.....Les encouragements reçus tout au long de cette journée ne font que nous réconforter et discréditent toujours un peu plus ceux qui font circuler ces rumeurs.

dimanche 19 septembre 2010

Lettre recommandée de l'inspecteur d'academie

A Camou-Cihigue (64), on résiste comme à St Etienne

A Camou-Cihigue, dans les Pyrénées Atlantiques, il y a une seule école avec une seule classe qui est fréquentée seulement par 6 élèves. Il est donc question de fermer cette école raconte Sud Ouest. Depuis la rentrée, l’Inspecteur a bien confirmé sa fermeture!

Alors, les parents ont décidé de résister… Ils sont soutenus par le député Jean Lassalle du Modem qui défraya la chronique, il y a quelques temps, lorsqu’il fit une grève de la faim pour empêcher la délocalisation d’une usine de son territoire.

Ainsi, cette rentrée, les parents font la « classe sauvage » dans l’école… avec l’aide des élus, ils assurent l’éducation et la surveillance des enfants… Ils vont recevoir dès lundi le renfort d’enseignants bénévoles qui apporteront leur concours par solidarité.

Le maire a des arguments pour essayer de persuader les pouvoirs publics de ne pas supprimer l’école de sa commune. Une maison est en construction, cela fera un septième élève…Un lotissement va être également créé dans sa commune avec des logements communaux, il y aura donc d’autres enfants qui vont venir précise Sud Ouest.

Le député Jean Lassale, quant à lui, affirme dans le quotidien qu’il est en contact avec le cabinet du Ministre Luc Chatel et que pour le moment, il n’a aucune assurance ni dans un sens ni dans l’autre… En connaisseur, il apprécie le combat de ces parents et leur conseille "de tenir encore quelques jours".

Fermera, fermera pas, cette école ?

MIDI LIBRE DIMANCHE 19 SEPTEMBRE





S t -Étienne-Vallée -F cse continue la mobilisation
RAPPEL : Les parents d'élèves organisent une "classe alternative" dans l'école pour demander un poste supplémentaire

Ce vendredi, à 17 h 30, les parents d'élèves de la "classe alternative" de Saint-Étienne-Vallée-Française, qui se mobilisent depuis plusieurs mois pour le maintien de la troisième classe, ont offert le verre de l'amitié aux personnes qui soutiennent le mouvement. La classe fonctionne maintenant depuis deux semaines.
Le soutien à la mobilisation s'est traduit par la présence de plusieurs dizaines de personnes dans la cour de l'école primaire. Sept maires de la communauté de communes des Hauts Gardons étaient présents à ce rassemblement pour montrer leur soutien.
En revanche, le maire de Saint-Étienne n'est pas venu à cette manifestation.
À 18 heures, devant toutes les personnes rassemblées, Angélique Meynadier du Collectif des parents d'élèves pour le maintien de

la troisième classe a lu un texte expliquant pourquoi ils souhaitaient son maintien, précisant : « Le maintien de cette troisième classe permet non seulement de garder une qualité d'enseignement, mais aussi de continuer le développement de la commune pour accueillir de nouvelles familles et ainsi de pérenniser le collège. C'est tout un territoire qui revendique une qualité d'éducation, pilier de notre développement local. Il y a beaucoup de jeunes enfants (22 en maternelle) et beaucoup de naissances. Dans trois ans, la classe du CP au CM2 aurait environ 30 élèves : impensable, et on sait qu'une réouverture de classe est très difficile à obtenir. »Dans le même texte, le collectif explique ses désaccords avec l'inspection académique.
À la suite de cette lecture Angélique Meynadier remercie les élus présents et le public est invité à une visite de la classe en présence de l'instituteur bénévole, Jean-Pierre Hours.

samedi 18 septembre 2010

Apéro de solidarité





Ce vendredi 17 septembre à 17h30 dans la cour de l'ecole, étaient invités tous les parents d'élèves, les élus de la communauté des communes ainsi que la population locale.
A notre grande satisfaction tous les elus de la communauté des communes étaient présent, les parents d'élèves ainsi qu'un peu de population locale.
Nous remercions tout le monde et espérant avoir éclairé notre combat suite à la lecture de la lettre ou nous exposons nos revendications et nos desacords avec l'inspection académique. Ceci a également permis d'amorcer un dialogue.
A la sortie il apparait que les parents d'eleves se sentent tres soutenus au niveau locale et donc que le moral pour défendre notre cause est au plus haut.

On peut noter l'abscence inexcusable de notre maire et son groupe:ils doivent se trouver bien seul a ne pas defendre une cause aussi importante pour notre territoire....

vendredi 17 septembre 2010

CLASSE ALTERNATIVE Midi Libre du 15 septembre

RAPPEL : La classe sauvage, rebaptisée alternative, va se poursuivre

Vendredi, les représentants du collectif des parents d'élèves de l'école publique de Saint-Étienne-Vallée-Française étaient reçus à Mende, par l'inspecteur d'académie François Lacan (lire notre édition de samedi). Pour rappel, les parents réclament le rétablissement du troisième poste d'enseignant au sein de cet établissement, qui rassemble 37 élèves. Depuis la rentrée, une classe sauvage est organisée avec Jean-Pierre Hours, instituteur retraité.
Hier après-midi, le collectif a tenu à revenir sur l'entrevue de vendredi, via un courrier de réponse transmis à l'inspecteur d'académie. « Après examen de vos arguments, et malgré les menaces que vous avez brandies, les parents d'élèves ont décidé de continuer à scolariser les enfants du cycle 3 dans la classe alternative (et non plus sauvage

car celle-ci s'organise et s'inscrit dans la durée) conduite par Jean-Pierre Hours », peut-on y lire.
« Nous restons très attachés à la qualité de l'enseignement public, insistent les parents d'élèves. Or cela passe, de l'aveu même du syndicat des inspecteurs d'académie, par le maintien d'effectifs restreints, a fortiori dans les classes à plusieurs niveaux puisque toute "pédagogie différenciée est d'autant plus difficile à mettre en oeuvre que les effectifs sont importants". » Le collectif cévenol réclame un remplaçant de la brigad e départementale au nom de l'équité : « En Lozère, certaines écoles qui scolarisent moins d'élèves que l'école de Saint-Étienne-Vallée-Française ont conservé leurs trois classes. » Une certitude : entre les parents d'élèves et l'inspection académique, le bras de fer va se poursuivre.

jeudi 16 septembre 2010

RAPPEL

Les parents d'eleves ainsi que la population locale et les elus de l'intercommunalité sont tous conviés à un aperitif débat vendredi 16 septembre à
17h30 dans la cour de l'école
objectif: informer sur notre action et montrer notre solidarité

entretien sud radio

Vous pouvez entendre l'entretien de ce matin sur Sud radio en tapant Sud Radio, puis réécoutez, puis infos, et à droite journal du matin. L' intervention apparait. On remarque que le journaliste posait les questions qu'aurait aimé poser l'IA.

mercredi 15 septembre 2010

les activités de la classe alternatives






Veuillez trouver ci joint quelques phtos de la classe alternative de Saint Etienne Vallée Française. Ce n'est plus une classe sauvage, car depuis la rentrée nous nous sommes organisés et nous investissons dans la durée.

Lundi matin,Français et math le matin, EPS et géographie l'après midi. Photos de l'animation 'balle et tambourin", avec l'aide de Jean Jacques, parent d'élève.

Mardi, même programme scolaire avec l'après midi intervention chant avec Sylvette, institutrice retraitée bénévole. Chansons enfantines, Christophe Mahé et Grégoire au programme. (photos jointes)

Au programme Jeudi, intervention d'un enseignant breveté d'état pour une séance de Capouéra, danse brésilienne.

Vendredi, grand apéritif de soutien à la classe dans la cour de l'école, à partir de 17h30.

conseil municipal mercredi

Madame, Monsieur,

En réponse à votre demande du 9 septembre dernier, j'ai l'honneur de vous confirmer que le Conseil Municipal se réunira le mercredi 22 septembre 2010 à 18 h 30 mm dans la salle annexe du Secrétariat de Mairie
Votre demande relative au votre du texte des parents d'élèves sera inscrite en n° 1 de l'ordre du jour.
Veuillez agréer, Madame, Monsieur, mes sincères salutations.

Le Maire,

Gérard CROUZAT

Signataires :
- Michel SALLES
- Bernadette NORY
- Marguerite JULLIAN
- Noël GRAND
- Emmanuel JULLIAN
- Jean-Pierre HOURS

invitation a la population locale

LES PARENTS D’ELEVES
INVITENT LA POPULATION STEPHANOISE

Rendez vous Vendredi
17 /09 à 17h30
Dans la cour de l’école pour un apéro rencontre avec la population et les élus du secteur
Débat d’idées, photos,…
Nous contons sur votre soutien
Pour obtenir la non fermeture de cette troisième classe

demain matin en direct sur sud radio

En direct sur Sud Radio

Demain Sud Radio m'interroge sur notre action en direct le matin à partir de 7 heures.(prévu 7h10)

Je ferai de mon mieux pour défendre notre classe alternative et être le plus clair possible, mais en direct au téléphone, ce n'est pas facile.

Jean Pierre

Message d'une parent d'eleve

14 septembre 2010
Un message qu'Agnes Monier souhaitait joindre au blog

Au sujet de la demande d'un nouveau conseil municipal pour délibérer sur la motion des parents

Bonsoir à tous.
J'espère de tout coeur, que cette deuxième réunion, apportera ses fruits. En effet, la seule faille de notre action est le non soutien de la part de la mairie (ou plutôt de celle du maire et de ses 3 conseillers !). Je n'ai pas encore digéré la position du maire lors de la première réunion. Une chose est sûre, c'est que tous ceux qui soutiennent l'action, peuvent dormir sur leurs 2 oreilles (nous aurons tout essayé pour sauver ce poste), quant aux autres, honte à eux, car une école, c'est la vie d'un village !!!
Soyons optimistes ! la nuit porte conseil ?

mardi 14 septembre 2010

Reponse à l'inspecteur d'académie

Collectif des Parents d’élèves
de l’école publique de
St Etienne Vallée Française
parentssevf@gmail.com
M l'Inspecteur d’Académie
de Lozère
St Étienne Vallée Française
13 septembre 2010

Objet : Réponse suite à notre entretien
du vendredi 10 Septembre 2010


Monsieur l’Inspecteur d’Académie,


Lors de notre entretien du vendredi 10 septembre, dans votre bureau à Mende, vous nous avez laissés exposer librement notre position, ce dont nous vous remercions. De notre côté, nous avons bien pris note de toutes vos objections et nous en avons rendu compte au collectif des parents d’élèves de l’école de St Étienne Vallée Française.

Après examen de vos arguments, et malgré les menaces que vous avez brandies, les parents d’élèves ont décidé de continuer à scolariser les enfants du cycle 3 dans la classe alternative (et non plus sauvage car celle-ci s’organise et s’inscrit dans la durée) conduite par Jean-Pierre Hours.

Nous restons très attachés à la qualité de l'enseignement public. Or cela passe, de l'aveu même du syndicat des Inspecteurs d'Académie, par le maintien d'effectifs restreints, à fortiori dans les classes à plusieurs niveaux puisque toute « pédagogie différenciée est d'autant plus difficile à mettre en œuvre que les effectifs sont importants ».

Nous tenons aussi à vous rappeler que nous ne réclamons, pour nos enfants, que le respect de l'équité départementale. En Lozère, certaines écoles qui scolarisent moins d'élèves que l'école de St Étienne Vallée Française ont conservé leurs trois classes.

Nous attirons enfin votre attention sur le fait que, compte tenu du nombre des postes dont vous disposez, notre problème n'est pas insoluble. En effet, il est en votre pouvoir de nommer un remplaçant de la brigade départementale pour cette année et de réétudier notre dossier pour la rentrée scolaire prochaine.

Nous restons prêts à discuter avec vous de toute solution qui permettrait de ne pas léser nos enfants. En attendant une réponse de votre part, nous vous prions d'agréer, M l’Inspecteur d’Académie, l’expression de nos salutations distinguées.


Le collectif des parents d'élèves
De l'école publique de
St Étienne Vallée Française.

Copie : Ministre, Recteur, Préfet, Sous Préfet, Député, Sénateur, Président de région, Conseillers Généraux, Président de la communauté des communes.

lundi 13 septembre 2010

Premiere page de midi libre

Édition du lundi 13 septembre 2010

Photo Christophe FORTIN

Instit rebelle au pays des Camisards « Nous faisons de l'école un élément central du développement du territoire »
En Cévennes, un village défend l'école en ouvrant une "classe sauvage"

REPORTAGE
Il fallait que cela se passât ici, en Vallée-Française, haut lieu du pays cévenol où l'on résiste comme l'on respire ! Les parents d'élèves de Saint-Étienne, charmant village au fond de cette vallée que l'on dit "française" parce que les Francs y firent barrage aux Wisigoths, auraient pu – « comme tout le monde » – occuper bruyamment l'école. En espérant attendrir l'inspection d'académie de Lozère, afin qu'elle rétablisse le poste d'instituteur supprimé pour cette rentrée 2010.
Peu confiants dans les retombées du camping revendicatif, les villageois ont préféré ouvrir que fermer. Cette classe sacrifiée, ils ont voulu qu'elle fonctionne, contre la volonté de l'administration. Encore fallait-il trouver un maître ! Jean-Pierre Hours, instituteur retraité depuis cinq ans, élu de surcroît et investi dans moult secteurs de la vie locale, jusqu'au balisage des sentiers de randonnée, a accepté de remonter sur l'estrade. « Pas pour le plaisir, dit-il, car je suis mieux dans mon jardin et dans les engagements qui m'animent ! Non, là c'est une action militante et déterminée pour faire avancer les choses... » Chez ce Cévenol de souche souffle l'esprit des Camisards, celui aussi du maquis de la Picharlerie où furent formées des escouades de "combattants de l'ombre", ou, plus récent, celui de la bagarre épique menée contre le barrage de La Borie. Même le parc national des Cévennes, qui n'est pas la plus mauvaise chose qui soit arrivée au pays, a dû composer avec le caractère rebelle de la Vallée-Française.
Issu d'une famille de Barre-des- Cévennes, Jean-Pierre Hours se définit comme « un parpaillot des hautes ter res ». Deux aïeuls enseignants lui ont transmis le plaisir de faire crisser la craie sur le tableau noir. Sorti de l'École normale en 69, il se spécialise dans la prise en charge des enfants en difficultés. Puis, passe l'essentiel de sa carrière à sillonner le sud de la Lozère : il est l'instit remplaçant qui professe de village en village. « J'ai d'anciens élèves partout, y compris à St-Étienne, où j'ai passé plusieurs mois dans les années 2000. Cela donne une légitimité à mon retour dans cette école... », lâche-t-il, sourire en coin, à l'adresse de l'inspection académique qui le menace d'une action au pénal. Lui affirme que faire la classe hors du cadre de l'Éducation nationale n'est pas illégal. Il exhibe un t exte officiel : « L'instruction obligatoire peut être donnée dans les établissements ou écoles publiques ou privées, soit dans les familles par les parents ou toute personne de leur choix... » Les parents des dix enfants de la "classe sauvage" ont affirmé le choix de Jean-Pierre Hours et lui ont signé une décharge de res ponsabilité. « Que l'Éduca tion nationale vienne vérifier la qualité de notre enseignement ! », lance-t-il, sûr de lui.
"Qualité", maître mot qui justifie la rébellion ! Jean-Pierre Hours coiffe sa casquette d'élu local : « La qualité de l'enseignement est essentielle car nous faisons de l'école un élément central du développement du territoire. Dernièrement, la Safer voulait vendre une propriété à des retraités, on a privilégié le projet d'une famille avec deux enfants. » « Pour l'épicerie, on a trouvé un gérant venant de Nîmes, avec six enfants dont trois à l'école et un au collège. Pour nous, l'école permet d'engager la chaîne sur le pédalier du développement. Là on est en train de nous faire dérailler... » La Vallée-Française, soudée autour d'une communauté de communes dynamique, prétend incarner la modernité dans la ruralité et l'avenir en Cévennes. Désormais, la population augmente, enrichie par de nouveaux venus en quête d'un environnement exceptionnel, fût-ce au prix de renoncements. « On peut faire des concessions sur plein de choses mais pas sur l'intérêt des enfants », défend Fabien Dubrevic, délégué des parents d'élèves, un jeune apiculteur venu de Haute-Savoie avec femme et trois enfants. Dans le pays, ça bouge : des projets d'éco-logements sont dans les cartons, tandis qu'on rénove aussi l'habitat ancien pour proposer du locatif de bon niveau. Le village de vacances est en reconstruction pour coller à la demande grandissante d'éco-tourisme. La vie associative est des plus intenses et maintient notamment la grande tradition culturelle cévenole.
Avec la passion du militant, Jean-Pierre Hours défend la cohérence du projet local : « On a des convictions et des objectifs. Et au centre de tout, on veut une école rurale d'excellence. » Que l'instit rebelle a promis de défendre à tout prix...


Patrick NAPPEZ

Jean-Pierre Hours a repris le chemin de l'école communale de Saint-Étienne-Vallée-Française qui comptait jusqu'à présent trois classes(une par cycle d...


Jean-Pierre Hours a repris le chemin de l'école communale de Saint-Étienne-Vallée-Française qui comptait jusqu'à présent trois classes(une par cycle d'enseignement primaire). Actuellement, 37 enfants sontinscrits dans cette école dont 22 enmaternelle, « ce qui garantit l'avenir » ,selon les parents.Ceux-ci rappellent qu'en Lozère,l'Éducation nationale admet unemoyenne de 12 élèves par classepour les écoles à trois classes. « On avait un accord avec le précédentinspecteur d'académie. Il est parti et là... » déplorent les parents, décidés à « aller jusqu'au bout »

INSOLITE Maire minoritaire


INSOLITE
Maire minoritaire Vendredi après-midi, une rencontre a eu lieu entre les parents d'élèves et l'inspecteur d'académie, sans faire pour autant avancer la situation. Plus étonnante est la conséquence politique de cette affaire de "classe sauvage". Le maire de Saint-Étienne-Vallée- Française, Gérard Crouzat, critique envers l'initiative des parents, a été mis en minorité par son conseil (à six voix contre cinq), dans lequel siège Jean-Pierre Hours.
Le premier magistrat a jugé « illégale » l'occupation des locaux et a fait part de ses craintes pour la sécurité

dimanche 12 septembre 2010

compte rendu de la reunion avec l'inspecteur d'académie



L'article ci dessous du midi libre resume bien la situation.
Les parents d'eleves restent mobilisés et la classe sauvage devient
classe alternative
un courrier sera envoyé à l'inspecteur d'académie en début de semaine pour l'informer de notre position.
des pique-niques et barbecues sont a l'ordre du jour qu'une journée de solidarité
chez Jean Pierre Hours pour lui aider à faire du bois (en contactant la tele)
des idees de concert de soutien sont egalement à l'etude

article midi libre 11 septembre 2010




Édition du samedi 11 septembre 2010

DR

Mende. EnseignementStatu quo à S t -Étienne-Vallée-Française
RAPPEL : Des parents ont rencontré, hier l'inspecteur d'académie

Tandis que la classe "sauvage" se poursuit à l'école de Saint-Étienne-Vallée-Française, quatre parents d'élèves ont été reçus hier à 15 heures par l'inspecteur d'académie François Lacan, en présence du secrétaire général et de l'inspecteur de l'Éducation nationale de Florac.
Des parents demandent un troisième poste d'enseignant. Pour rappel, ils ont organisé depuis la rentrée une classe dans l'école, avec un enseignant retraité de l'Éducation nationale.
Après échange de courriers et coup de téléphone, les deux parties étaient donc prêtes à se rencontrer. Hier, aucune solution n'a été trouvée au cours du rendez-vous à l'inspection académique. « On peut dire qu'il y a eu un vrai dialogue et une écoute, chacun a pu s'expri mer », note Fabien Dubreuil, un des parents.

Son sentiment ? « On essaie de nous amadouer, mais la position de l'inspection reste la même. » Sur le fond, chacun reste sur ses positions. Les parents ne comprennent pas pourquoi d'autres établissements ont trois classes avec 37 élèves. Et pas eux. Comment envisager l'avenir ? « Nous restons mobilisés, on ne va pas lâcher, assurent les parents. Les bonnes conditions sont là, l'enseignant suit le programme, fait appel à des intervenants extérieurs. » Mais la situation n'a pas vocation à durer éternellement, concèdent-t-ils. Les parents ont proposé des pistes alternatives, impossibles à mettre en place pour l'inspection, que nous avons essayé de joindre en fin d'après-midi, sans succès.
La bataille va donc se poursuivre sur le terrain politique, après le conseil municipal de mercredi. « Nous n'avons pas bousculé le maire, ni eu de propos excessifs », tiennent à faire savoir les parents (lire l'édition de vendredi). Et ils comptent bien remettre la question à l'ordre du jour lors d'un prochain conseil, à travers les élus favorables à la classe sauvage.


Sylvain LABLANQUIE

samedi 11 septembre 2010

Pétition en ligne

Bonjour à tous,
voici depuis hier après-midi la pétition est en ligne à l'adresse suivante :
http://8198.lapetition.be
Apparement beaucoup de personnes ne l'ont pas reçu, donc nous allons refaire un mailing, faites en autant avec tous vos contacts.
Merci encore pour tous les soutiens qui nous viennent de partout.

vendredi 10 septembre 2010

Demande d'un nouveau conseil municipal extraordinaire

09 septembre 2010
nous voulons un vote du conseil municipal

Les élus du groupe de Michel Salles
Michel Salles
Bernadette Nory
Maguy Jullian
Noël Grand
Manu Jullian
Jean Pierre Hours


A Monsieur le maire de Saint Etienne Vallée Française

Monsieur

Les six élus de notre groupe vous demandent de réunir dans les meilleurs délais possibles un conseil municipal pour délibérer sans débat aucun sur le texte des parents d’élèves ci-dessous :
" Le conseil municipal de Saint Etienne Vallée Française considère que la salle de l’ex troisième classe est une simple salle municipale qu’il met à disposition des enfants du troisième cycle confiés par les parents à un enseignant qualifié, Mr Jean Pierre Hours actuellement, aux mêmes jours et mêmes horaires que ceux de l’école publique du village.
Le conseil municipal met à disposition des parents d’élèves tout le matériel d’enseignement nécessaire et offre aux enfants les mêmes services que ceux offerts aux enfants de l’école publique. (Cantine, garderie, ramassage scolaire…..) "

jeudi 9 septembre 2010

Conseil Municipal Lamentable






le maire ne soutient pas l'action des parents d'élèves!!!!

A la suite du "super lamentable" conseil municipal de Mercredi, ci joint le texte que les élus ci desous designes ont écrit que nous diffusons largement avec quelques photos pour ceux qui voudraient avec nous essayer de comprendre comment un maire pouvait avoir un comportement aussi pitoyable sur un sujet aussi important que la défense de son école publique.....

Le conseil municipal de la commune de Saint Etienne Vallée Française a tenu le Mercredi 8 septembre une séance extraordinaire avec comme unique ordre du jour : l’école et l’action des parents d’élèves.

Les parents d’élèves présents avaient l’autorisation de participer à la séance et d’y prendre la parole.

Après près de deux heures de débats forts animés entre les parents d’élèves unanimes qui réclamaient une prise de position claire de l’ensemble du conseil municipal vis-à-vis de leur action, ils ont soumis une proposition de délibération. Le maire ne voulant pas soutenir officiellement l’action des parents, et assuré qu’il n’obtiendrait pas la majorité au cours du vote, a levé la séance et quitté la salle avec ses trois conseillers.

Les élus majoritaires engagés dans l’action auprès des parents d’élèves vous font parvenir la motion ci-dessous majoritairement approuvée par les élus du conseil municipal de Saint Etienne Vallée Française.

" Le conseil municipal de Saint Etienne Vallée Française considère que la salle de l’ex troisième classe est une simple salle municipale qu’il met à disposition des enfants du troisième cycle confiés par les parents à un enseignant qualifié, Mr Jean Pierre Hours actuellement, aux mêmes jours et mêmes horaires que ceux de l’école publique du village.
Le conseil municipal met à disposition des parents d’élèves tout le matériel d’enseignement nécessaire et offre aux enfants les mêmes services que ceux offerts aux enfants de l’école publique. (Cantine, garderie, ramassage scolaire…..) "

Michel Salles, Jean Pierre Hours, MAguy Jullian, Emmanuel Jullian, Noel Grand, bernadette Noury

Cette lettre a été diffusé très largement du préfet aux médias pour que le jour soit enfin fait sur l'incapacité du maire à gérer les evenements sur sa commune et sa façon non démocratique d'agir
Inutile de vous dire que les parents d'eleves sont degoutes de se comportement enfantin de son premier magistrat et cela renforce encore plus notre combat avec ou sans le maire

PETITION

Ce texte de soutien se trouve au vival, au bar et a la mairie pour ceux qui veulent nous soutenir de part leur signature merci



Soutien à la mobilisation des parents d’élèves de St Etienne Vallée Française pour le maintien de la troisième classe

Pourquoi souhaitons-nous le maintien de la troisième classe :
*Pour la qualité de l’enseignement nous voulons un enseignant par cycle.
*Un seul instituteur du CP au CM2 ce n’est qu’une heure d’enseignement par niveau alors qu’il faut déjà ¾ heure de lecture minimum par jour pour les CP avec un maximum d’attention.
*Un seul instituteur ce sont toutes les autres activités qui sont remises en cause : anglais, natation, informatique, sport, occitan, sortie scolaire, voyage scolaire alors que l’association des parents d’élèves très dynamique a participé à ses activités l’année dernière à hauteur de plus de 10000€.
*Comment prendre en charge des enfants en difficulté scolaire : manque de temps (surtout pour l’apprentissage de la lecture et le passage au collège).
*Le maintien de cette troisième classe permet non seulement de garder une qualité d’enseignement mais aussi de continuer le développement de la commune pour accueillir de nouvelles familles et ainsi de pérenniser le collège. C’est tout un territoire qui revendique une qualité d’éducation, pilier de notre développement local.
*Beaucoup de jeunes enfants (22 en maternelle) et beaucoup de naissances. Dans trois ans la classe du CP au CM2 aurait environ 30 élèves : impensable et on sait qu’une réouverture de classe est très difficile à obtenir.
Nos désaccords avec l’inspection académique :
* Mr l’inspecteur d’académie nous a très régulièrement fait part de son attachement à l’équité départementale. En Lozère les écoles avec trois classes ont une moyenne de 12 élèves par enseignant. Aujourd’hui nous sommes à 37 inscrits soit plus de 12 élèves par classe. Où sont passées les promesses d’égalité de l’inspecteur d’académie ?
*A la fin de l’année scolaire 2008-2009 l’inspecteur d’académie du moment avait reçu une délégation de parents d’élèves et d’élus. A cette occasion ils avaient conclu un accord verbal sur l’avenir de la troisième classe (alors que les effectifs étaient que de 31 élèves). L’inspecteur donnait trois ans à la commune pour stabiliser les effectifs puis les augmenter ainsi que d’avoir une politique sociale en terme de logement ainsi que de services auprès de la jeunesse. Un an plus tard les effectifs sont passés à 37 élèves, ouverture d’une garderie, d’un centre aéré, d’une crèche début 2011, investissement dans l’école numérique (avec des crédits d’état), création de deux logements locatifs, projet de lotissement, travaux dans l’école. Que pouvait faire de plus la municipalité ? Il nous semble qu’elle a largement rempli son contrat. Nous dénonçons donc le manque de dialogue entre les inspecteurs d’académie et demandons que cet accord soit maintenu pour les années à venir.

Merci pour votre soutien
Le collectif des parents d’élèves de l’école publique de St Etienne Vallée Française

mercredi 8 septembre 2010

RAPPEL

Ce soir conseil municipal extraordinaire à 20h00 au syndicat d'initiative concernant l'école, venez nombreux
merci

prochainement un article dans midi libre Region

Ce matin Jean Pierre Hours et Fabien Dubreuil ont rencontré deux journalistes du midi libre de Montpellier durant deux heures
l'article paraitra dans les prochains jours en page region donc toutes les éditions seront concernées.

rendez inspection academique

Lundi 6 dans la soirée la nouvelle tombe via le maire. L'inspecteur d'académie à demandé à Mr Crouzat de nous faire part qu'il souhaitait recevoir 4 parents d'eleves dans son bureau a mende et aucun élus.
Nous nous sommes donc concerté pour savoir quels parents feront le deplacement vendredi après midi a mende: il s'agira de
Jean Luc Ruedas (3 enfants scolarisés)
Christelle Jullian (2 enfants scolarisés)
Fabrice Issart (2 enfants scolarisés)
Fabien Dubreuil (2 enfants scolarisés)

Bien entendu nous vous tenons informer rapidement de la situation

Ce matin un journaliste de midi libre Région vient nous rencontrer

Reponse de JP Hours à l'inspecteur d'academie

Jean Pierre Hours avait reçu un courrier de l'inspecteur d'académie contre signé du maire vendredi dernier lui demandant de cesser son action rapidement:
voici sa reponse:
Ce que je pense du courrier de l'inspecteur d'académie

Vendredi 3, la secrétaire de mairie m'a remis en mains propres, comme demandé par le maire, le courrier ci dessous qui mérite quelques commentaires.

Tout d'abord, pourquoi un courrier de l'IA m'est il transmis par la mairie, et non pas par la directrice de l'école qui dépend directement de son autorité. Pourquoi le maire l'a t il signé sans commentaires? En effet ce local n'est plus prévu pour dispenser un enseignement, puisque c'était le local de la 3ème classe que l'IA a fermée. Nous demandons simplement qu'il retrouve sa fonction première d'enseignement avec le troisième enseignant que nous demandons. A la place du maire, je n'aurais jamais accepté d'être le facteur de l'inspecteur d'académie!

Pourquoi le maire accepte t il que l'IA considère que je n'ai aucune qualité pour dispenser cet enseignement? L'académie s'honore de faire appel aux retraités pour pallier au non renouvellement d'un fonctionnaire sur 2. Le maire comme l'IA pense t il qu'après 60 ans on n'est plus compétent pour assumer des fonctions de responsabilité?

Au cours d'une réunion à laqu'elle j'étais accompagné par Angélique, le maire avait dit qu'il resterait neutre, qu'il fermerait les yeux. Nous l'avions accepté (pas le choix), mais avions bien précisé " qu'il ne fallait pas qu'il entrave notre action". Le fait d'avoir répondu à la préfecture et à l'IA" qu'il se désolidarisait de notre action" (ce sont ses propres propos) est pour notre action plus qu'un croc en jambes, une trahison par rapport à ses engagements.....

L'IA bien sûr s'engouffre dans la faille: utilisation illégale d'un local, de chaises, de tables.

STOP: Nous sommes dans un local municipal, avec du mobilier scolaire payé par la commune. Si quelqu'un peut faire évacuer les locaux, c'est au maire de le demander, après on l'espère avis de son conseil municipal. (regardez l'exemple des terrains municipaux occupés par les roms..).ce sont les maires qui font le demande d'évacuation, et non pas d'expulsion qui, pour faire plaisr à la sémantique de Danielle, ne relève pas de ses prérogatives.

Monsieur l'inspecteur d'académie, comme je l'ai confirmé aux parents d'élèves, je serai présent dans la salle municipale de la troisième classe Lundi matin, jeudi matin et je continuerai. Les enfants sous ma responsabilité ne sont pas privés d'enseignement, et donc en aucun cas détournés de l'obligation scolaire. Je ne vois aucune objection au fait que vous saisissiez le procureur de la république. Je pense que bien des villages pourront s'inspirer de la solidarité qu'affirme notre territoire (presque tout notre village..) pour son école et que la résistance de "notre petit village cévenol" inspirera et suscitera bien d'autres vocations. Nous allons nous mobiliser pour faire connaître à tous les médias notre action au quotidien.

Jean Pierre HOURS


P.S: Je ne réponds pas au courrrier de l'IA. J'ai donné ma réponse aux parents d'élèves.

Article midi libre mardi 7 septembre

Mende. ÉducationUne classe "sauvage" à S t -Étienne-Vallée-Française



RAPPEL
Un poste en moins. La mauvaise nouvelle était tombée au printemps dernier. Depuis la rentrée, l'école maternelle et primaire cévenole de S t -Étienne-Vallée-Française ne compte donc que deux instituteurs.
Aussitôt, à l'initiative des parents d'élèves, une classe "sauvage" a été mise sur pied, autour de l'enseignant retraité Jean-Pierre Hours (notre édition de dimanche).
Les 37 enfants inscrits sont ainsi répartis selon les trois cycles définis par l'Éducation nationale. Et les parents des dix participants à cette classe hors-la-loi ont signé une décharge dégageant le bénévole de toute responsabilité en cas d'accident. Tableau noir, livres, craies : pour le reste, tout semble normal. Pour une classe qui se revendique « sauvage », son organisation est bigrement précise.



La dizaine d'enfants qui y participe arrive à neuf heures moins dix et ne rentre pas par l'entrée principale. Les bambins empruntent le préau municipal pour rejoindre leur salle. Et leurs récréations sont décalées : pas question de partager les jeux dans la cour avec les autres. Trop risqué.
Car l'initiative menée depuis la rentrée à l'école de Saint-Étienne-Vallée-Française est parfaitement illicite. Et donc plutôt aventureuse en cas d'accident. « Cette prise en charge n'apporte aucune garantie administrative ni juridique pour les enfants », a rappelé l'inspecteur d'académie François Lacan dans un courrier transmis aux parents concernés.
Mais ce n'est pas tout. Selon l'administration, l'obligation scolaire n'est pas respectée. « Cette classe est totalement illégale et dans ces circonstances, les élèves qui s'y trouvent ne sont pas considérés comme scolarisés, écrit François Lacan. La non-régularisation sans délai de la situation de chacun de vos enfants conduirait à des poursuites sur le plan pénal. » Une menace claire, relayée localement par la directrice Marie-Noëlle Meillet, qui se refuse à toute autre déclaration qu'un lapidaire : « C'est illégal, c'est tout. » Qu'importe : les parents d'élèves n'entendent pas désarmer. « On ne lâchera pas, prévient Hélène Dubois, mère de deux enfants scolarisés à Saint-Étienne. C'est un enseignant expérimenté qui leur fait la classe, pas le premier venu : on n'est pas irresponsables. Et on ne se considère pas du tout comme des hors-la-loi. » Les initiateurs du mouvement l'assument : mieux vaut cette situation qu'un fonctionnement de l'établissement avec seulement deux enseignants - et donc deux classes - pour 37 inscrits, de la petite section de maternelle au CM2, tous confondus.
« J'ai un enfant qui va entrer en 6 e l'an prochain, témoigne ainsi Jean-Luc Ruedas. Mon souci, c'est la qualité de l'enseignement. Comment une personne, en ayant tous les niveaux de primaire, peut-elle l'assurer ? Moi, je préfère cette classe "sauvage" que de voir tous les niveaux mélangés. » Il n'empêche, la situation ne peut forcément être que provisoire. « Mais c'est l'inspection qui détient la solution, lance Jean-Jacques Fabre. Des postes, il en existe. Le nombre d'élèves est en augmentation. Des travaux ont été réalisés sur l'école, avec des fonds d'État. Et c'est ici qu'on ferme une classe ? C'est la preuve que c'est une gestion catastrophique. »Demain soir, sur requête des parents d'élèves, un conseil municipal extraordinaire sera organisé sur le sujet. Réservé, le maire attend son issue pour se prononcer : pour le moment, il ne soutient ni ne dénonce clairement l'action en cours. « Je ne veux pas devenir otage de la situation, indique Gérard Crouzat. Je ne me prononce pas sur la question de la pédagogie en elle-même. Moi, ce qui m'inquiète, c'est la sécurité, il ne faut pas qu'il arrive un accident. » Le premier édile ne voit qu'une issue à la situation : faire grossir les effectifs. « C'est mon seul objectif et ce n'est qu'ainsi que nous aurons cette troisième classe, martèle-t-il. J'ai encore des rendez-vous cette semaine pour faire venir des familles sur le village... » D'ici là, la classe "sauvage" devrait se poursuivre à l'école de Saint-Étienne-Vallée-Française. « Moi, je tiendrai bon, promet l'enseignant bénévole Jean-Pierre Hours. Plusieurs institutrices à la retraite se sont aussi proposées. Alors si jamais on m'emporte, elles prendront la relève. »

lundi 6 septembre 2010

Petite info télévisuelle

Cet après midi ce lundi 6 septembre, France 3 a fait le déplacement à St Etienne pour comprendre ce qui se passait, recueillir des témoignages et avis de la population
Un petit groupe de parents et habitants étaient présents, des images ont été tournées, que vous pourrez voir ce soir vers 19 H sur france 3 région (canal 281 pour la parabole ou satellite et la 3 pour les autres)

Ce matin c'est le journal midi libre qui est venu : espérons que ces médias nous apporterons leur aide et que nos messages seront bien relayés : la qualité pour nos enfants , leurs écoles et un avenir pour le village.

http://info.francetelevisions.fr/video-info/index-fr.php?id-categorie=JOURNAUX_LES_EDITIONS_REGIONALES_LANGUEDOC_ROUSSILLON_1920


En tapant le lien ci dessus et en cliquant sur l'édition du Lundi 6, vous devriez pouvoir visionner le reportage.


N'oublions pas le conseil municipal de mercredi soir 20 H

Les parents d'élèves

dimanche 5 septembre 2010

conseil municipal extraordinaire

Pour préciser la position des différents membres du conseil municipal vis à vis de l'action des parents d'élèves pour la défense de la troisième classe, le groupe d'élus de Michel Salles a demandé au maire la convocation d'un conseil municipal extraordinaire qui se tiendra, sauf annulation du maire, le:

Mercredi 8 Septembre à 20 heures

à la mairie, allée des tilleuls

(local du bureau de vote, du syndicat d'initiative).


Ordre du jour: l'action des parents d'élèves et la position de la municipalité.

Nous demanderons que ce conseil soit l'occasion d'un dialogue entre parents et élus.

Soyons nombreux a debattre et etre constructif, c'est le moment de nous montre ou non votre soutien face a notre action