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dimanche 12 septembre 2010

article midi libre 11 septembre 2010




Édition du samedi 11 septembre 2010

DR

Mende. EnseignementStatu quo à S t -Étienne-Vallée-Française
RAPPEL : Des parents ont rencontré, hier l'inspecteur d'académie

Tandis que la classe "sauvage" se poursuit à l'école de Saint-Étienne-Vallée-Française, quatre parents d'élèves ont été reçus hier à 15 heures par l'inspecteur d'académie François Lacan, en présence du secrétaire général et de l'inspecteur de l'Éducation nationale de Florac.
Des parents demandent un troisième poste d'enseignant. Pour rappel, ils ont organisé depuis la rentrée une classe dans l'école, avec un enseignant retraité de l'Éducation nationale.
Après échange de courriers et coup de téléphone, les deux parties étaient donc prêtes à se rencontrer. Hier, aucune solution n'a été trouvée au cours du rendez-vous à l'inspection académique. « On peut dire qu'il y a eu un vrai dialogue et une écoute, chacun a pu s'expri mer », note Fabien Dubreuil, un des parents.

Son sentiment ? « On essaie de nous amadouer, mais la position de l'inspection reste la même. » Sur le fond, chacun reste sur ses positions. Les parents ne comprennent pas pourquoi d'autres établissements ont trois classes avec 37 élèves. Et pas eux. Comment envisager l'avenir ? « Nous restons mobilisés, on ne va pas lâcher, assurent les parents. Les bonnes conditions sont là, l'enseignant suit le programme, fait appel à des intervenants extérieurs. » Mais la situation n'a pas vocation à durer éternellement, concèdent-t-ils. Les parents ont proposé des pistes alternatives, impossibles à mettre en place pour l'inspection, que nous avons essayé de joindre en fin d'après-midi, sans succès.
La bataille va donc se poursuivre sur le terrain politique, après le conseil municipal de mercredi. « Nous n'avons pas bousculé le maire, ni eu de propos excessifs », tiennent à faire savoir les parents (lire l'édition de vendredi). Et ils comptent bien remettre la question à l'ordre du jour lors d'un prochain conseil, à travers les élus favorables à la classe sauvage.


Sylvain LABLANQUIE

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